jeudi 12 juin 2008

Souper de Filles - 2e partie

-Une autre bouteille, monsieur! S.V.P. ...

- Macha, tu exagères...

-Non ! On fête, un point c'est tout! Toi, Alice... Qu' est-ce qu'il t'est arrivé durant tout ce temps ?

-Moi, je suis restée fidele comme toujours

-Toi, fidèle? À Alain, Francois et Vincent, j'espère!

- Bien sûr!

- Et les rénovations ?

- Tu ne peux même pas t'imaginer à quel point je suis heureuse que ce sois enfin terminé ! J'ai choisis de prendre une chambre dans un petit hotel tranquille mais je suis contente de revenir à la maison! Ma chambre avait beau être jolie... c'est très impersonnel un hôtel.

- Je ne sais pas pourquoi tu te pleins, tu as passé plus de la moitié de ton temps au chalet de François!

-Tiens, donc ! Allez... Raconte !


- La premiere soirée où j'ai téléphoné à Francois, j'étais loin de me douter de ce qui allait suivre. Il faisait froid, le ciel était gris... et mon humeur aussi! Terreur bondissait tout partout chassant des amis imaginaires au plafond.

- Donc, tu as telephoné à ton chavalier servant...

-C'est un peu cela. Je n'avais pas envie de passer ma soirée seule. J'étais triste... mais laisse-moi raconter et tu saura tout!

- Dans les moindres détails.

-Bien sûr. Donc, je lui téléphone:

«Bonjour François, as-tu réussi à te trouver un nid douillet pour la durée des travaux ?

- Plus que douillet ! Je suis à mon chalet ! Viens me rejoindre pour quelque jours, nous allons nous amuser! Ah, oui... Apporte ton chat, il y a bien assez de place pour lui aussi... et ne soupe pas, je me charge de tout! »


- Ah? François cuisine, maitenant!?!


-Oui, et très bien.


-Il fait plus que cela, n'est-ce pas?


-Annabelle, laisse-moi parler! Je sais que tu sais tout mais Macha, elle, non! Donc...

«Je me suis rendue là-bas. C'était magnifique, le décor était à couper le souffle et son chalet petit mais accueillant, du moins de l'extérieur. Je venais à peine d'éteindre le moteur de ma voiture lorsque François est venu me rejoindre pour prendre mon sac. Il était magnifique, habillé d'un jeans usé, d'un t-shirt délavé et ... d'un tablier !

-Tu le trouverais beau... Non... MAGNIFIQUE, habillé en mascotte!

- Annabelle, laisse-la continuer!

- Merci.

«Je n'avais pas encore franchi le pas de la porte lorsque j'ai vu, déposé devant le foyer, à même le tapis, non pas un repas... mais plusieurs assiettes avec toute sortes de bouchées! Quelle surprise !»



- Ça promettait d'être intéressant!

- Avec Francois, ce l'est toujours...

- Chouchou !

-Où j'en étais, moi, avec tout cela ? Ah, oui!!! Il me dit:

« Je ne savais pas ce que tu désirais manger alors j'ai fait plein de petit trucs.

J'ai retiré mon manteau, jeté mes clefs sur le comptoir et enfermé Terreur dans la chambre, question de manger tranquille.

-François, tu t'es vraiment donné beaucoup de mal !


- Ma chère Alice, je te connais. Avec tout le stress des travaux, tu ne dois ni prendre le temps de te détendre, ni celui de bien manger. »


- Oh, que c'est mignon! Il est adorable, il pense à toi et à prendre soin de toi...

- Je crois qu'il est le seul d'ailleurs à penser comme cela!

- Oui mais ça paye !

- Les filles ! Vous me faîtes perdre le fil de mon histoire ! Donc ...


«Nous nous sommes assis devant le festin puis François a déposé une bouchée entre ses dents... que je me suis empresser d'aller chercher! Puis, une dans mon cou, qu'il a mangé en léchant les miettes. À ce moment, il m'a étendu sur le sol, m'a dévêtue et a recommencé le même processus avec mes seins, mon ventre, mes cuisses, etc. Sa langue se promenait, ses lèvres m'embrassaient et je commençais à frissonner de désir lorsque dans un élan de gourmandise, il s'attaquait à mon sexe. Tout d'abord, doucement puis de plus en plus rapidement. Mon clitoris gonflait, mon corp se tordait de plaisir et je criais de plus en plus fort.

Au moment où je croyais avoir atteint le septième ciel, j'ai senti en moi son membre dur comme du fer. Nous avons changé de position à plusieurs reprises. Chaque fois, j'ai senti en moi mon plaisir décupler, jusqu'à atteindre un nouvel orgasme. Nous nous somme écroulés simultanément sur le tapis. C'est à ce moment que j'ai réalisé que Terreur etait toujours enfermé!»

- Et que madame est partie vivre là-bas à temps partiel!

- On peut comprendre !

-Et ceci, mesdames, ce n'est qu'u moment parmis tant d'autres... mais j'ai toute la vie pour vous raconter le reste!

À suivre...

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