mercredi 24 octobre 2007

atchoum

Ça fait une semaine que je suis malade. Ma meilleur amie est devenue ma boite de mouchoirs, je suis fiévreuse et j’ai peine à bouger. Depuis une semaine je suis presque cloîtrée à la maison. Les copines commencent à me manquer et les garçons encore plus mais je suis loin d’être à mon avantage avec le nez qui «pleume» et ma conversation est plus ou moin intéressante; j’ai le cerveau en gelée. Bref, ça fait une semaine que je suis là à me morfondre quand la sonnette de la porte se fait entendre.

L’oeil magique de la porte me laisse voir François, les deux mains dans le dos. Que me reserve-t-il celui-là? J’ouvre et le laisse passer... Au diable à quoi je peux ressembler!

- J’ai croisé Macha , elle m’a dit que tu n’etais pas bien. Que c’est la raison pour laquelle on ne te voit plus...
- Oui, c’est vrai je ne vais pas bien, mais que caches-tu dans ton dos, toi ?
- Deux surprises.

Doucement, il retourne sa main gauche dans laquelle se trouve un grand bol.

- Je t’ai apporté une soupe de malade. C’est de la poulet et nouilles en sachet: j’ignore
pourquoi mais ca fait toujours du bien.

- Et mon autre surprise ?
- La voici.

Il retourne dans le corridor et reviens avec une boîte.

- Ouvre, ouvre vite !

Je prends la boite dans mes mains curieuse comme ce n’est pas permis. À ma plus grande surprise, elle se met à remuer et j’entends un miaulement. J’ouvre à toute vitesse pour rencontrer mon nouveau petit copain. La boule de poils qui s’y trouve est minuscule.

- Tu l’aimes ?
- Mais bien sûr, il est adorable !

François me regarde tendrement câliner mon nouveau compagnon. Il s’approche de moi et commence a m’embrasser.


- Dépose le par terre qu’il puisse visiter les lieux. J'ai laissé la litière et le reste dans le corridor j’installe cela et le temps que la petite terreur découvre sa maison, moi je pourrai bien m’occuper de ton corps.
- François ! Tu vas attraper mon rhume ! Je ne vis pas en récluse ici pour rien.
- Au diable, le rhume ! Moi, je veux prendre soin de toi.

Il commence a m’embrasser le cou pour descendre tendrement sur mes seins. Doucement, tout doucement, il retire mes vêtements et continue son excursion buccale sur tout mon corps. J’en frémis et des frissons de plaisir me traversent toute la colonne vertebrale. Mes mamelons durcissent dangereusement et ma libido qui était complètement tombée à zero remonte rapidement.

Il se déshabille, je ne peux resister et commence à promener mes mains sur son corps en m’attardant particulierement au niveau de ses fesses. Nous faisons l’amour tendrement, doucement sans se presser.

La petite terreur a terminé d’explorer sa nouvelle maison et saute sur nous. Nous le câlinons tous les deux. Petite terreur….. «Terreur» sera son nom, à mon petit chaton.

3 commentaires:

Volage a dit…

Prompt Rétablissement ;)

Francis a dit…

Ça, ça te fait oublier un rhume assez faste !

Anonyme a dit…

J'ai comme un petit picottement soudain dans la gorge...